Soudain dans le bureau de papy, en pleine effervescence en vu de la guerre qui n’allait pas tarder, un bruit couru, le silence se fit, un homme entra.
L’homme n’avait rien de particulier, n’avait rien d’un héros, c’était simplement un mercenaire, mais il ne ressemblait pas aux autres mercenaires, à ces rambos amoindrient intellectuellement, non il semblait différent, il émanait de lui une certaine éloquence, un halo qui fait que cet instant fut quelque peu magique, lorsqu’il entra, le soleil dans le dot, tous les regards se tournèrent vers lui, il ne sembla pas remarquer qu’il avait interrompu une réunion importante, ou alors il n’en avait rien à faire. En tout cas, personne n’essaya de lui faire la moindre réflexion, papy et Bao eux-même n’avait jamais vu quelqu’un comme ça. Cet homme semblait avoir tout vécu, tout visité, il portait les stigmates d’une bataille ressente, son œil droit était enflé et il saignait abondement de la cuisse.
Il s’avança au milieu de la pièce, au milieu de la table en U à laquelle présidaient les plus illustres membres de la confrérie des R_Dogs. Il ouvrit la bouche, pris une profonde aspiration et dit : «
Mes chers R_Dogs, je viens aujourd’hui dans ce quartier de la ville que je n’ai jamais visité pour vous annoncé une bien triste nouvelle, le soleil s’est couché pour un millier d’homme et ne se relèvera plus, l’ombre commence à habiter les femmes et les enfants de ses hommes morts pour que vivent leur chef le camarade alex29. »
En entendant cela, il y eu un brouhaha dans la salle, les uns conversaient avec les autres, mais qui était donc alex29 ?
L’homme s’éclaircit la voie, le silence se fit d’un coup, se fut presque physique, comme si un coup de feu eut été tiré. Il annonça : «
Je vous vois réagir brusquement à l’entente de se nom, mais qui donc était le camarade alex29, je vais vous le dire : c’est un homme qui a été adopter par votre famille pour prendre la tête d’un quartier de la ville, un quartier reculer de la ville.
Vous n’avez pas entendu parler d’alex29, c’est normal, c’est un individu simple mais discret, très peu désirable de rejoindre les quartiers huppés de la ville ou sa famille s’était fait un nom, vous lui aviez confié un quartier qui n’était plus que l’ombre de lui-même, vaste champ de ruine, il fallut tout reconstruire, plus aucun soldat n’était vivant, il fallut reformé des hommes de mains en créer une génération différentes, j’en fait partis ,ajouta t’il avant de continué, il reconstruisit le quartier, réduit au minimum le nombre de bâtiments, mais les fit évoluer. C’était l’aube, la renaissance, le quartier prenait vie. Je ne vais pas continué plus longtemps, je vais vous lire sa lettre.
Le visage tendu de douleur, l’homme commença :
minuit
J’ai choisit de commencer mon journal à minuit, heure de la nuit, heure à laquelle j’ai hériter de se trou pommer à la périphérie de la ville. Partout autour de moi, il n’y a que désolation, les maisons sont détruites, les habitants effrayés quittent le quartier, j’ai n’ai pas un homme valide.
4h du matin
Mon premier ordre a été la démolition de 9 bâtiments, je cherche des hommes partout ou je peux en trouvé, se présentent à moi des hommes, mais pas des rambos, des hommes normaux, mais avec en tête plus que dans le muscles, ces hommes avaient vécu quelque chose, ils avaient vu la mort, je ne pouvais trouver meilleur homme.
6h du matin
Cela fait 2 mois que je dirige le quartier, je commence à voir le bout, les hommes sont de vrais lions, les bâtiments évoluent vite et bien, le quartier retrouve de son charme, pour preuve, le classement commence à avancé.
12h
C’est le point G du quartier mais la, un homme napoleon, débarque avec ses hommes et casse tout, je perds la quasi totalité de mes hommes dans la bataille, mon honneur est bafoué, il gagne la bataille, mais pas le guerre, je réalise mes erreurs et je décide de les corrigers, désormais l’entraînement de mes hommes sera bien meilleur.
15h
Le quartier est de nouveau opérationnel, les hommes sont heureux, il n’y a jamais eu une aussi bonne ambiance, mais la j’aperçois des hommes en approche, j’envoi des espions pour envoyé mes hommes sur une cible afin d’éviter cette attaque, je trouve des mercenaires à quai, je lance mes hommes :
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Le problème est que c’est un de nos frêres ennemis, les omp, je sens que c’est le début de la fin, il est 19h. Le crépuscule approche, je le sens.
20h
Nous sommes en pleine bataille, un homme vient de lancé la totalité de ses hommes sur moi, je ne peux rien faire, nous sommes mort, mais je décide de mener mes hommes aux combat afin de défendre femmes et enfants.
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22h
Je suis acculer dans mon bureau, j’ai pris une balle, je sens la fin proche, je fais venir mon messager à moi, lui dit de dire que j’ai faillit, que je suis désolé d’avoir trahit ma …
L’homme ne finit pas sa phrase, alex29 est mort, le silence est de glace, des larmes silencieuses coulent sur les joues de l’homme, il va vert papy, lui remet les clés du bâtiment, fait trois pas en arrière, se retourne, sort, le silence est attroce, il ferme la porte, tout le monde présent ce qui va arrivé.
PAN !
L’homme vient de se donner la mort.
Je voudrais remercier les R_Dogs intégralement pour les moments que j’ai vécut sur Vendetta, merci à tout le monde, mais un grand merci à quanabeach, pour ce compte, c’est toi qui m’a indiqué et appris à jouer, merci…
Longue vit aux R_Dogs
ps : les echelles de durées ne sont pas respecté...ma régence est résumée en une journée...
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